Connaissez-vous la série Cobayes? C'est une série de 7 livres de 7auteur(e)s différents. Cinq sont parus jusqu'à maintenant. Le premier paru est Anita de Marilou Addison, il y a aussi Sarah et Sid de Eve Patenaude, Yanick de Martin Dubé, Benoit de Carl Rocheleau et le plus récent, Olivier de Yvan Godbout, c'est de ce dernier dont je vais parler. À noter qu’ils peuvent être lus dans l'ordre ou dans le désordre. Moi, j’en ai seulement lu deux. Après avoir lu celui de Marilou, je doutais de ma tolérance à l'horreur, j'ai peu lu de livres ado et adulte dans les dernières années et la vue du sang me fait tourner de l'oeil.
Olivier est un grand brûlé de l'âme et du corps. Maintenant âgé de 18 ans, il vit avec une morte vivante, un menteur absent, un jeune fantôme et un vieux beagle. Il est écoeuré de ses cicatrices qui attirent les regards et qui l'empêchent d'oublier qu'un jour, il avait été deux. Comment empêcher la tourmente de le posséder et ses mauvais souvenirs de venir le hanter? Devenir dément? Non!!! Il trouve la solution dans un cerne de café.
Je me suis surprise à plonger dans ce livre comme un vampire dans le sang. J'ai l'esprit plus machiavélique que je le pensais. J'ai même eu de petits rires à certains endroits. Consolez-vous j'ai dit yark! souvent aussi. J'ai même halluciné un "O", j'ai adoré ces liens avec le "O" et l'oeil. J'ai même décelé des rimes et des mots de même sonorité, j'ai bien aimé ce clin d'oeil macabre de ces jeux de mots. L'auteur nous avait prévenu: Olivier va toucher des gens, mais risque d'en choquer une maudite gang! Il vient d'abord nous chercher par sa fragilité, avant de nous effrayer lors de son entrée dans la noirceur. Quand j'ai déposé ce livre, je me suis questionnée de la raison pour laquelle j’étais entrée dans ce livre à ce point? Moi, la trop gentille fille qui a peur du sang? Je crois que la réponse tient dans le jugement vécu par Olivier, les regards des autres...comme si dans un sens, je me vengeais moi aussi des gens qui font du mal sans raison…une vengeance que je n'assouvirai jamais.
Olivier est un grand brûlé de l'âme et du corps. Maintenant âgé de 18 ans, il vit avec une morte vivante, un menteur absent, un jeune fantôme et un vieux beagle. Il est écoeuré de ses cicatrices qui attirent les regards et qui l'empêchent d'oublier qu'un jour, il avait été deux. Comment empêcher la tourmente de le posséder et ses mauvais souvenirs de venir le hanter? Devenir dément? Non!!! Il trouve la solution dans un cerne de café.
Je me suis surprise à plonger dans ce livre comme un vampire dans le sang. J'ai l'esprit plus machiavélique que je le pensais. J'ai même eu de petits rires à certains endroits. Consolez-vous j'ai dit yark! souvent aussi. J'ai même halluciné un "O", j'ai adoré ces liens avec le "O" et l'oeil. J'ai même décelé des rimes et des mots de même sonorité, j'ai bien aimé ce clin d'oeil macabre de ces jeux de mots. L'auteur nous avait prévenu: Olivier va toucher des gens, mais risque d'en choquer une maudite gang! Il vient d'abord nous chercher par sa fragilité, avant de nous effrayer lors de son entrée dans la noirceur. Quand j'ai déposé ce livre, je me suis questionnée de la raison pour laquelle j’étais entrée dans ce livre à ce point? Moi, la trop gentille fille qui a peur du sang? Je crois que la réponse tient dans le jugement vécu par Olivier, les regards des autres...comme si dans un sens, je me vengeais moi aussi des gens qui font du mal sans raison…une vengeance que je n'assouvirai jamais.