Depuis l'été je voyais sur mon fil de nouvelle deux magnifiques livres qui étaient à paraitre à ce moment. Deux très belles couvertures, habituellement je ne suis pas attiré par ce qui est fleurs et ce qui l'entoure. Le 12 aout j'ai fait le geste de les commander. En septembre je les ai acheté. Je vous présente Les incroyables et périlleuses aventures de Gabriel Latulipe et j'ai posé quelques questions à l'auteur Benjamin Faucon.
Bonjour Benjamin!
1. Est-ce que les gens te posent des questions et te complimente à propos de ton bel accent?
B.F : De moins en moins, non pas que les gens ne le pensent pas, mais le fait que j'utilise beaucoup de mots "québécois", cela mélange quelque peu mes interlocuteurs sur mes origines. Personnellement, je me considère comme un québecois à part entière,
2. Qui-est-ce qui ou qu-est-ce qui t'a donné le gout à l'écriture?
B.F : La lecture. C’est la découverte de la littérature jeunesse qui a été l’élément moteur de cette passion et de cette vocation. Dès lors, chaque livre lu et apprécié devenait un incitatif de plus pour un jour écrire à mon tour un livre. Le livre est selon moi l’un de meilleurs moyens pour découvrir toute la richesse de la culture et toutes les possibilités de notre imagination.
3.De qu'elle idée est né Gabriel Latulipe?
B.F. : L’histoire de Gabriel Latulipe trouve naissance dans ma jeunesse. Je n’ai pas pour habitude de puiser énormément dans mon environnement proche et dans mon passé pour écrire un livre, or, pour cette série, j’ai fait un gros travail d’introspection. Ce petit garçon qu’est Gabriel n’est nul autre que moi au même âge. Je me suis inspiré de ma passion pour la nature, les plantes et la faune et la vision du monde que j’avais développée à cette époque pour concevoir cette trilogie. Toutes ces idées ont servi de base pour créer le monde imaginaire dans lequel arrive Gabriel Latulipe. Il s’agit en quelque sorte d’une utopie que j’ai créée, mais que j’espère pouvoir connaître un jour.
4. C'est tes premières publications jeunesse. As-tu eu la piqûre d'écrire pour les jeunes?
B.F. : Ce qu’il y a de fabuleux avec la littérature fantastique, qu’elle soit cataloguée de jeunesse ou non, c’est que des jeunes de 9-12 ans peuvent s’y intéresser, mais également des adultes, lorsque la tournure des phrases et le vocabulaire utilisée est suffisamment riche pour plaire à un large public. On peut constater ce phénomène avec les livres de l’auteur américain Brandon Mull (également publié aux Éditions AdA qui est mon éditeur) ou avec une série qui a eu un succès sans précédent Harry Potter, ces livres étant autant lus par les jeunes que les adultes. J’ai pu constater ce fait lors des derniers salons du livre, dont notamment celui de Montréal où des jeunes de 10 ans et des adultes de 80 ans venaient se faire dédicacer leurs livres. Je trouve ça fascinant et cela me rappelle qu’il n’y a pas d’âge pour garder un cœur d’enfant et pour aimer la littérature fantastique.
5. Y a t-il quelque chose que tu faisais avant et que tu ne peux plus faire maintenant, mais que si c'était possible que ferais-tu?
B.F. : Relaxer (rire) Je suis une personne extrêmement occupée et les moments de détente sont rares, mon quotidien étant rythmé à la minute près, il m’est parfois difficile de m’accorder du temps pour lire, pour dessiner, pour cultiver de nouvelles plantes ou tout simplement pour apprécier les choses simples de la vie.
6. Je t'ai connu à l'été dernier. Nous avons beaucoup discuté de la littérature québécoise et le mettre à la vue. Qu'elle message aimerais-tu passer? B.F. : La littérature québécoise est riche et variée, il y en a pour tous les goûts et il suffit simplement de s’y intéresser pour trouver le livre parfait pour se divertir. Alors, allez de ce pas dans une librairie ou dans une bibliothèque et procurez-vous un livre québécois !
7. Si il y avait des publicités pour présenter des auteur(e)s qu'elle arguments convaincants il y aurait dans ta pub pour attirer les lecteurs vers tes livres?
B.F. : Vous vous demandez à quoi pourrait ressembler un film transposé en livre ? Alors lisez un roman de Benjamin Faucon et embarquez dans une folle aventure ! Les lecteurs me disent souvent que mon écriture est très cinématographique et qu’en lisant l’un de mes livres, ils ont l’impression de voir l’action se dérouler devant leurs yeux.
Bonjour Benjamin!
1. Est-ce que les gens te posent des questions et te complimente à propos de ton bel accent?
B.F : De moins en moins, non pas que les gens ne le pensent pas, mais le fait que j'utilise beaucoup de mots "québécois", cela mélange quelque peu mes interlocuteurs sur mes origines. Personnellement, je me considère comme un québecois à part entière,
2. Qui-est-ce qui ou qu-est-ce qui t'a donné le gout à l'écriture?
B.F : La lecture. C’est la découverte de la littérature jeunesse qui a été l’élément moteur de cette passion et de cette vocation. Dès lors, chaque livre lu et apprécié devenait un incitatif de plus pour un jour écrire à mon tour un livre. Le livre est selon moi l’un de meilleurs moyens pour découvrir toute la richesse de la culture et toutes les possibilités de notre imagination.
3.De qu'elle idée est né Gabriel Latulipe?
B.F. : L’histoire de Gabriel Latulipe trouve naissance dans ma jeunesse. Je n’ai pas pour habitude de puiser énormément dans mon environnement proche et dans mon passé pour écrire un livre, or, pour cette série, j’ai fait un gros travail d’introspection. Ce petit garçon qu’est Gabriel n’est nul autre que moi au même âge. Je me suis inspiré de ma passion pour la nature, les plantes et la faune et la vision du monde que j’avais développée à cette époque pour concevoir cette trilogie. Toutes ces idées ont servi de base pour créer le monde imaginaire dans lequel arrive Gabriel Latulipe. Il s’agit en quelque sorte d’une utopie que j’ai créée, mais que j’espère pouvoir connaître un jour.
4. C'est tes premières publications jeunesse. As-tu eu la piqûre d'écrire pour les jeunes?
B.F. : Ce qu’il y a de fabuleux avec la littérature fantastique, qu’elle soit cataloguée de jeunesse ou non, c’est que des jeunes de 9-12 ans peuvent s’y intéresser, mais également des adultes, lorsque la tournure des phrases et le vocabulaire utilisée est suffisamment riche pour plaire à un large public. On peut constater ce phénomène avec les livres de l’auteur américain Brandon Mull (également publié aux Éditions AdA qui est mon éditeur) ou avec une série qui a eu un succès sans précédent Harry Potter, ces livres étant autant lus par les jeunes que les adultes. J’ai pu constater ce fait lors des derniers salons du livre, dont notamment celui de Montréal où des jeunes de 10 ans et des adultes de 80 ans venaient se faire dédicacer leurs livres. Je trouve ça fascinant et cela me rappelle qu’il n’y a pas d’âge pour garder un cœur d’enfant et pour aimer la littérature fantastique.
5. Y a t-il quelque chose que tu faisais avant et que tu ne peux plus faire maintenant, mais que si c'était possible que ferais-tu?
B.F. : Relaxer (rire) Je suis une personne extrêmement occupée et les moments de détente sont rares, mon quotidien étant rythmé à la minute près, il m’est parfois difficile de m’accorder du temps pour lire, pour dessiner, pour cultiver de nouvelles plantes ou tout simplement pour apprécier les choses simples de la vie.
6. Je t'ai connu à l'été dernier. Nous avons beaucoup discuté de la littérature québécoise et le mettre à la vue. Qu'elle message aimerais-tu passer? B.F. : La littérature québécoise est riche et variée, il y en a pour tous les goûts et il suffit simplement de s’y intéresser pour trouver le livre parfait pour se divertir. Alors, allez de ce pas dans une librairie ou dans une bibliothèque et procurez-vous un livre québécois !
7. Si il y avait des publicités pour présenter des auteur(e)s qu'elle arguments convaincants il y aurait dans ta pub pour attirer les lecteurs vers tes livres?
B.F. : Vous vous demandez à quoi pourrait ressembler un film transposé en livre ? Alors lisez un roman de Benjamin Faucon et embarquez dans une folle aventure ! Les lecteurs me disent souvent que mon écriture est très cinématographique et qu’en lisant l’un de mes livres, ils ont l’impression de voir l’action se dérouler devant leurs yeux.